mercredi

N'est-ce pas vulgaire ?


"Toi, je vais prendre ta tête, et la mettre dans son cul. -Et toi, tu es chanceux : je vais mettre ta tête dans mon cul."




Je t'explique, de base, on a pas le droit d'être comme ca. Mais la connerie cherche pas, c'est de naissance. T'es pas un peu ma sœur toi ? FAT'

Je suis une menteuse pathologique, croyez moi !


"JE T'AIME"








NEXT.
"Tout s’achète : l’amour, l’art, la planète Terre, vous, moi... Surtout moi. L’homme est un produit comme les autres. Avec une date limite de vente. Je suis publicitaire. Je suis de ceux qui vous font rêver des choses que vous n’aurez jamais. Ciel toujours bleu, nanas jamais moche, bonheur parfait retouché sur Photoshop. Vous croyez que j’embellis le monde ? Perdu, je le bousille. "

Aime moi, por favor !


"Mais je ne me suis pas suicidée. Je n'avais pas le courage de le faire, et pour mourir il ne suffit pas de le vouloir. Tu as envie de mourir mais ton corps continue d'aller de l'avant. Mon corps voulait continuer à vivre, il se frayait laborieusement un chemin vers la vie, mon cœur battait, mon sang circulait, mes poumons inspiraient et expiraient, c'était comme une croisière en paquebot, où tu n'as pas besoin de te soucier que le moteur marche ni que le bateau avance, parce que l'équipage est là pour ça, parce qu'il y a des anonymes dans la salle des machines qui font tout pour que ça avance."

L'amour dure 3 ans


"Notre génération est trop superficielle pour le mariage. On se marie comme on va au MacDo.Après, on zappe. Comment voudriez-vous qu'on reste toute la vie avec la même personne dans la société du zapping généralisé ? Dans l'époque, où les stars, les hommes politiques, les arts, les sexes, les religions n'ont jamais été aussi interchangeable ? Pourquoi le sentiment amoureux ferait-il exception à la schizophrénie générale ?"

NO LIMIT


"Plus que quelques mètres et elle allait pouvoir s'injecter cette merde. A la limite, elle se serait même shootée au milieu de la cour. Là, sur le parking, au milieu des gosses qui faisaient du skate entre les poubelles. Elle n'aspirait qu'à une seule chose : être stone, défoncée, pétée. Pour ne plus penser à rien. Pour descendre, un moment, à un niveau de conscience où elle serait sure de ne plus avoir peur."

SAUVE MOI !


"Elle se reprochait beaucoup d'avoir cru à l'amour, alors qu'elle en connaissait les pièges et les désillusions. En bonne littéraire, elle aurait dû écouter les mises en garde de Kant et de Stendhal : l'amour n'est qu'un soleil trompeur, une drogue qui nous empêche de voir le réel. Nous croyons toujours aimer quelqu'un pour ce qu'il est, nous n'aimons en fait, à travers lui, que l'idée de l'amour."

G.M


"-Dépêchez vous de vivre, dépêchez vous d'aimer, car vous ne savez jamais combien de temps il vous reste au compteur. Nous croyons toujours avoir le temps, mais ce n'est pas vrai. Un jour nous prenons conscience que nous avons franchi le point de non-retour, mais il est alors trop tard.
-Le point de non-retour ?

-C'est le moment où l'on se rend compte que l'on ne peut plus revenir en arrière. Le moment où l'on se rend compte qu'on a laissé passer sa chance .."

Guillaume Musso



"-Il existe une carte particulière au tarot : la treizième carte, l'"arcade sans nom" que tout le monde appelle "la mort". Elle signale la conclusion d'une phase, un retour à l'origine qui ne serait pas une fin, mais une renaissance.
-Qu'est-ce que vous essayez de me dire ?
-Je cherche à vous faire comprendre qu'il est parfois nécessaire qu'une page se tourne pour que quelque chose de neuf puisse s'écrire à sa suite.
-Vous débitez toujours des phrases toutes faites ?
-La Mort est le plus grand instructeur, reprit Shino sans se laisser démonter.
-Le plus grand instructeur ?
-Nous menons nos existences comme si nous n'allions jamais mourir, constata le médecin. Alors que pour faire quelque chose de sa vie, il faudrait tout le temps garder à l'esprit l'inéluctabilité de notre mort."

Catherine Bensaid


"L'état euphorique peut procurer la sensation merveilleuse d'être "sur un petit nuage" : nous sentons notre corps libéré des pesanteurs et des limites qu'il nous impose en temps ordinaire. Notre respiration est plus ample, nous nous permettons enfin d'inspirer à pleins poumons le bonheur qui nous envahit, notre cœur bat à la mesure d'une vie exaltante, et notre esprit est tendu vers un "ailleurs" d'autant plus séduisant qu'il permet d'échapper à notre quotidien. Quand il faut remettre les pieds sur terre, la chute est le plus souvent douloureuse."

Lucie Extebarria


"Nous vivons dans une société hypocrite. Dis non à la drogue, nous répète-t-on sans arrêt. Sauf quand c'est légal. Le Valium est un opiacé synthétique, dangereux et addictif. L'alcool est associé à trois cas de violence conjugale sur quatre. Le tabac est la drogue dont il est le plus difficile de se désaccoutumer, plus encore que l'héroïne, et il ne tue pas seulement celui qui fume, mais aussi le pauvre bougre qui travaille ou vit à ses côtés. Les drogues sont très dangereuses, nous répète-t-on. Mais quand nous serinons à longueur de journée aux jeunes générations : "Au moindre problème, avale un comprimé", nous les encourageons à ne pas résoudre par eux-mêmes leurs problèmes. Face à une contrariété, il est toujours plus facile d'avaler un comprimé que de se mettre à réfléchir à une solution un peu imaginative pour combattre l'angoisse. Praxil, Prozac, Pharmaton, shit, coke, ecstasy : la différence est-elle si grande ?"

RIP l'amour


En y repensant, c'est drôle. Il s'est jamais rien passé, mais j'ai comme l'impression que tu m'as baisée. Pourquoi ? Va savoir. C'est mon cœur qui parle, qui crache, tout le venin qu'il a accumulé. C'est de ta faute tout ca. La maturité ne dépend pas de l'age, t'en es la preuve vivant mec. J'aurais tellement aimé être une biatch, te faire souffrir, t'endolorir ton putain de cœur tellement il aurait eu mal. Mais ca s'est pas passé comme ca. A chaque fois que j'y repense, j'ai comme ce creux dans mon estomac, le manque pour tout dire, mais faut pas se l'avouer. Je veux pas que tu me manques, je veux t'oublier. Rembobiner la cassette et t'effacer. Tu mérites rien d'autres, j'ai la haine ouais. Contre moi. Contre ma naïveté et ma débilité. Contre toi. Contre tes mensonges, tous. Je suis libre maintenant et tout ca s'est fini. Tu m'enterreras pas une deuxième fois. La deuxième chance était celle de trop, mais celle qui m'a permis de tout comprendre. L'illumination, la vision. Ouais, t'es un con. Je ne sais pas ou j'en serais dans 2 mois, j'espère que je t'aurais oublié, du moins en parti. Ne reviens pas, disparais. Fais comme si rien n'avais existé. Il y'a des jours, ou le destin fait mal les choses. Cette chose, c'est ce "nous". Mais après tout, toutes les histoires ont une fin, et tout le monde sait pertinemment que les "happy end" n'existent pas.

HIGHSCHOOL IS DEAD


Difficile. Difficile de se dire que tout est fini. Une année d'achevée, rien que ca. Je ne pleurerai pas non, je ne rigolerai pas. On revois toujours les mêmes scènes, celle du commencement; les premiers regards, les premiers fous rires. Rien ne dure éternellement, et c'est tant mieux. Il n'empêche que je suis la, ce mercredi 9 juin, à repenser. A tout, au bon comme au mauvais. Et le constat est clair, c'est une année de vécu. Dans 2 mois, on y repensera plus, mais les souvenirs seront la, car ils sont impérissables,c'est la leur unique but. Et dans 2 mois, tout recommencera. Et dans 1 an, je serai certainement la à écrire exactement le même texte, à me poser les même questions. L'année prochaine, il faudra tout reprendre de nouveau. Et au fond c'est ca le plus dur. Les habitudes de toute une année envolées. J'ai comme un pincement au cœur, une larme aux coin de l'œil en y repensant. En faite c'est ca les années lycée ? Passer une année entière à tout construire, et l'année d'après tout démolir ? A quoi bon.
Voila, ca donne ca quand la nostalgie fait surface, avouez c'est pas beau à voir, c'est carrément détestable . J'assume.