mercredi

RIP l'amour


En y repensant, c'est drôle. Il s'est jamais rien passé, mais j'ai comme l'impression que tu m'as baisée. Pourquoi ? Va savoir. C'est mon cœur qui parle, qui crache, tout le venin qu'il a accumulé. C'est de ta faute tout ca. La maturité ne dépend pas de l'age, t'en es la preuve vivant mec. J'aurais tellement aimé être une biatch, te faire souffrir, t'endolorir ton putain de cœur tellement il aurait eu mal. Mais ca s'est pas passé comme ca. A chaque fois que j'y repense, j'ai comme ce creux dans mon estomac, le manque pour tout dire, mais faut pas se l'avouer. Je veux pas que tu me manques, je veux t'oublier. Rembobiner la cassette et t'effacer. Tu mérites rien d'autres, j'ai la haine ouais. Contre moi. Contre ma naïveté et ma débilité. Contre toi. Contre tes mensonges, tous. Je suis libre maintenant et tout ca s'est fini. Tu m'enterreras pas une deuxième fois. La deuxième chance était celle de trop, mais celle qui m'a permis de tout comprendre. L'illumination, la vision. Ouais, t'es un con. Je ne sais pas ou j'en serais dans 2 mois, j'espère que je t'aurais oublié, du moins en parti. Ne reviens pas, disparais. Fais comme si rien n'avais existé. Il y'a des jours, ou le destin fait mal les choses. Cette chose, c'est ce "nous". Mais après tout, toutes les histoires ont une fin, et tout le monde sait pertinemment que les "happy end" n'existent pas.

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